Équipements et machines
Pour un travail optimal, rapide et de qualité, je dispose de machines à coudre industrielles et d’équipements spécifiques.
Voici une petite visite guidée de mon atelier.
Piqueuse plate Singer
Le pilier de l’atelier. À bain d’huile, vieille mais robuste, polyvalente et indispensable pour tous les travaux nécessitant puissance et rapidité. Coud impeccablement les ourlets même sur du jean épais en toile brute ou des vêtements de travail.
La surjeteuse industrielle
Exécute des finitions parfaites en un temps record, sur tout type d’étoffe, même épaisses. Je l’ai montée en noir avec du fil mousse extensible pour un maximum de polyvalence.
Ourleuse pour bas invisibles
Ourleuse rapide Consew 221. Permet la réalisation parfaite d’ourlets invisibles au point de chaînette. Délicate à régler en fonction de l’épaisseur du tissu et un peu susceptible car les aiguilles sont très fragiles, mais incroyablement rapide.
Piqueuse cuir
Triple transmission. C’est une machine moins courante, extrêmement puissante et très robuste. Dédiée au travail du cuir elle permet une grande précision d’exécution. Elle est équipée d’un pied à double appui pour entrainer la matière avec souplesse des deux côtés de la couture, dessus et dessous. C’est avec cette machine que je travaille le cuir et les peaux lainées (mouton retourné), ainsi que le skaï, le plastique et les matériaux techniques extensibles et fragiles. Moins académique mais efficace, elle me permet également de gagner du temps lorsque je pose une bonne grosse fermeture éclair sur un blouson qui s’obstine à faire des fronces.
Festonneuse fourreur
La plus exotique de l’atelier, pour les fourrures et les peaux lainées. Le seul moyen d’assembler les fourrures fragiles comme les peaux épaisses, cette machine coud un feston chaînette sur l’extrême bord du matériau. Le maniement est un peu compliqué et demande une main légère et stable, il faut s’adapter à chaque type de fourrure. Réalise subsidiairement des festons à couper le souffle sur les voiles de mariées.
Les machines familiales
La bonne vieille Pfaff domestique bonne vieille machine, sert à tout et bobine tous les types de cannettes. En complément des autres machines, il m’arrive d’en avoir besoin pour un travail de précision sur des tissus légers et moyens. C’est un peu la seule machine qui coud lentement… Je me sers des fonctions polyvalentes pour coudre des points élastiques ou des boutonnières, raccommoder ou exécuter quelques broderies.
Les presses et outils à main
Pour toutes les finitions de mercerie, permettent la pose de boutons pression, d’œillets, de rivets, ainsi que la confection de boutons et de pressions recouverts cuir ou tissu.
La réserve de quincaillerie
Un vaste assortiment de petit matériel est bien utile pour répondre rapidement à vos demandes concernant les rivets, boutons recouverts et autres pressions. En lien avec les presses d’établi, il faut utiliser des matrices pour poser les œillets, rivets etc sur les textiles.
Piqueuse Tailleur
La petite Pfaff 138 que j’ai préréglée pour des travaux plus légers. Elle me permet de répondre avec aisance à toute demande de confection ou de retouche sur tissus fins à moyens. Pique le point droit et le point zig-zag. Très rapide et précise.
Surjeteuse domestique
Petite Brother légère, machine d’appoint. Posée sur un coin de table pour réaliser rapidement les finitions sur tissus léger à moyens, je l’ai montée en fil blanc pour plus de polyvalence. Fait un bruit de tracteur, mais coud un point très propre.
Attention au chien !
Quelques cuirs
Une petite partie du stock : les peaux les plus encombrantes sont roulées sur une étagère, un déhumidificateur est installé à proximité.